5 mythes sur l’assurance maladies graves

5 mythes sur l’assurance maladies graves

L’assurance maladies graves, est-ce seulement pour les autres? Voici 5 mythes déboulonnés qui réussiront à vous convaincre que cette assurance fait partie d’une sage stratégie financière.

Vous assurez votre auto, votre maison, votre vie… Mais quand vient le temps d’assurer votre santé, est-ce que vous faites entièrement confiance à votre bonne étoile?

Voici 5 affirmations dans lesquelles vous allez peut-être vous reconnaître et qui vous feront voir d’un autre œil l’assurance maladies graves.

1. Ça ne m’arrivera jamais

Malgré les percées de la science, l’augmentation de l’espérance de vie et l’implantation de saines habitudes de vie au quotidien, personne n’est à l’abri d’une maladie grave, comme le cancer ou un accident vasculaire cérébral (AVC).

Les dernières statistiques de la Société canadienne du cancer nous indiquent qu’en moyenne :

  • chaque jour, 555 Canadiens reçoivent un diagnostic de cancer
  • chaque jour, 216 Canadiens meurent d’un cancer
  • 2 Canadiens sur 5 seront atteints de cancer au cours de leur vie
  • plus de 60 % des Canadiens atteints de cancer vivent 5 ans ou plus après avoir reçu leur diagnostic

Côté maladies cardiovasculaires, les chiffres sont un peu plus reluisants :

  • près d’un adulte canadien sur 12 vit avec une maladie cardiaque diagnostiquée
  • le taux de mortalité lié aux maladies cardiovasculaires a diminué de 23 %

2. J’ai une assurance collective

Ce ne sont pas tous les employeurs qui offrent une assurance maladies graves dans leur régime d’assurance collective.

Vérifiez donc si cette protection fait partie de votre assurance collective.

Si ce n’est pas le cas, une assurance maladies graves individuelle s’avère un excellent complément à votre régime collectif.

En plus de couvrir les médicaments et les traitements, elle vous aidera à payer les dépenses supplémentaires liées à votre maladie, comme :

  • les déplacements
  • les soins à domicile
  • l’aide domestique pour les tâches ménagères
  • la garde de vos enfants

3. Je suis couvert par le régime provincial d’assurance maladie

Plusieurs croient que le régime public d’assurance médicaments de leur province leur remboursera les médicaments et les traitements pour recouvrer la santé.

Erreur!

Ces régimes publics ne remboursent pas TOUS les médicaments offerts sur le marché.

C’est dans ces moments-là où une assurance maladies graves verse un montant que vous pouvez utiliser à votre guise.

4. J’en ai suffisamment mis de côté

Vous avez travaillé fort pour épargner… Pourquoi gruger vos économies qui sont réservées pour votre retraite ou vos projets, comme un voyage ou la rénovation de votre cuisine de rêve?

Avec une assurance maladies graves, vous recevrez un montant libre d’impôt si vous recevez un diagnostic de maladie grave.

Vous pourrez ainsi ne pas toucher à vos épargnes qui vont continuer de fructifier pendant votre convalescence.

5. L’assurance maladies graves coûte cher

Tout dépend de votre situation financière et de ce que vous jugez dispendieux et abordable… À titre d’exemple, une femme non-fumeuse de 35 ans paiera moins de 58 $ par mois pour une assurance maladies graves de 50 000 $.

Gardez en tête qu’il est plus économique de souscrire une assurance maladies graves que de payer tous les frais supplémentaires entraînés par votre maladie.

Votre prime d’assurance maladies graves sera moins élevée selon les critères suivants :

  • montant assuré
  • âge
  • saines habitudes de vie
  • antécédents médicaux au sein de votre famille

Pour alléger le paiement de la prime, vous pouvez opter pour une assurance maladies graves temporaire qui peut être transformée en produit permanent plus tard ou diminuer le montant assuré.

Prévoyez l’imprévisible avec votre conseiller financier

Ne laissez pas une maladie grave faire monter en flèche votre endettement.

Parlez-en avec votre conseiller financier. Il vous aidera à faire un choix éclairé en matière d’assurance maladies graves.

*Les causes admissibles varient selon les contrats et ces exemples pourraient ne pas s’appliquer à votre situation. Veuillez communiquer le service à la clientèle de votre assureur ou consulter votre brochure pour de plus amples informations.